Élodie est une jeune maman, qui détient le compte Instagram. Elle partage sa vie entre ses enfants, sa passion pour le tricot et les objets vintages.
Dans cette Knitter Series, découvrez comment cette passion lui est venu, ses conseils..
Depuis quand tricotes-tu ?
Je tricote depuis 3 ans
Comment tu as appris à tricoter ? Qui te l’a appris ?
C’est ma grand mère qui m’a initié au point endroit quand j’avais environ 8 ans. Mon premier tricot était l’écharpe “gruyère” qui avait un trou par rang. Du haut de mes 8 ans j’avais vite baissé les bras.
C’est avec du recul que je me rends compte de la chance d’avoir pu bénéficier de cet héritage transmis par ma grand mère et de ces souvenirs précieux avec elle.
Puis je me suis remis au tricot sérieusement il y a 3 ans pendant la grossesse de mon fils où j’ai dû resté allité les derniers mois. Je me suis aussi beaucoup aidé de vidéos sur le net pour m’y remettre.
Le fait de tricoter en 3 mots ?
création, évasion, relaxation.
Tu préfères tricoter pour toi ou pour les autres ?
J’ai beaucoup tricoté pour mes enfants puis là je commence à me faire plaisir.
Ton point préféré en tricot ?
Pas très originale mais c’est le point endroit. Celui avec lequel je m’évade totalement quand je tricote, celui qui me “vide” la tête, me permet de penser à rien, celui de mes débuts et aussi le plus douillet et chaleureux.
Ton kit préféré chez We Are Knitters ?
Ça marche si je dis que j’en ai 2 ?
Le Downtown Snood, j’ai tellement adoré le tricoter que tout le monde en a un dans la famille
et le Martina Cardigan que je découvre en ce moment, que je tricote pour moi, mon premier tricot vraiment “compliqué”
Grosse laine, laine fine, trapilho ou baby alpaga ?
La grosse laine tellement agréable
Quel est ton moment préféré de la journée pour tricoter ?
À l’heure du thé de 15h le moment juste à moi de la journée, et le soir quand la maison est calme et que mes enfants dorment. En ce moment je passe toutes mes soirées à tricoter.
Un conseil pour quelqu’un qui commence à tricoter
Commencer avec des grosses aiguilles et de la grosse laine pour une meilleur dextérité et pour un résultat rapide
et puis surtout ne pas baisser les bras, les premiers rangs sont souvent les plus difficiles et démotivant, mais une fois que l’on a compris le principe, les mailles se montent machinelement.